société
le Louvre - Montreuil
Le Louvre–Montreuil, hiver 2008-2009,
A une période où le commerce du luxe bat ses records, les signes de vies de misère se multiplient dans les rues, aussi ai-je choisi de travailler sur ce grand écart.
De tout temps les peintres ont représenté les puissants armés de leurs signes de richesse et de pouvoir, et parfois les laissés-pour-compte de leur société.
C’est à partir de ces représentations picturales encadrées dans les musées ou brutes sur les murs des villes, des cicatrices de vies humaines, des restes à glaner en fin de marché que se sont construits ces triptyques.
Trois images qui évoquent l’instabilité, à l’instar de ce profond déséquilibre des richesses. De quel côté la balance penche-t-elle ? Ici, pourtant, ce n’est pas encore la Révolution.
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