enfance
zanimaux
Zanimaux, 2014
Le zoo de Vincennes va rouvrir, les animaux « sauvages» revenir. Le plaisir et les peurs des enfants aussi.
Les petits vont prendre leurs doudous- animaux –ces vrais doudous qui rassurent de l’inconnu – pour aller voir les animaux-pour-de-vrai. Et si pour grandir il fallait d’abord traîner, câliner et malmener son doudou?
Que le doudou soit d’abord un objet transitionnel, qu’il soit un animal coloré à qui l’on donne la main, ou qui donne la patte fait partie des paradoxes de l’enfance.
Le zoo de Vincennes va rouvrir, les animaux « sauvages» revenir. Le plaisir et les peurs des enfants aussi.
Les petits vont prendre leurs doudous- animaux –ces vrais doudous qui rassurent de l’inconnu – pour aller voir les animaux-pour-de-vrai. Et si pour grandir il fallait d’abord traîner, câliner et malmener son doudou?
Que le doudou soit d’abord un objet transitionnel, qu’il soit un animal coloré à qui l’on donne la main, ou qui donne la patte fait partie des paradoxes de l’enfance.
Attachement et angoisses forment une paire indissociable, comme deux mains, une vers la mère, l’autre vers le doudou. On est ambidextre, enfant. C’est à partir de ces divagations que sont nés ces diptyques.
Quelques animaux domestiques et le souvenir des images d’Epinal se sont glissés. L’arche de Noé est loin d’être complète, mais ici il n’y a rien à sauver. Même pas peur du déluge!
